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A.Vogel Encyclopédie plantes

Galerie « Sur les traces de la griffe du diable africaine »

Griffe du diable (lat. Harpagophytum procumbens)

Photo: Dietmar Gust

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Le Sud-Africain Gert Olivier mise sur la griffe du diable. Il est l'un des quelques exploitants qui savent comment cultiver cette plante médicinale.


Photo: Dietmar Gust

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Dans la « technique des bandes » appliquée par Gert Olivier, les surfaces de plantation de la griffe du diable alternent avec des zones naturelles, ce qui assure une protection contre la sécheresse.


Photo: Dietmar Gust

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Après les pluies abondantes, les petites pousses pointent sur le sol désertique aride.


Photo: Dietmar Gust

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Sur ce sol sec, les jeunes plantes en forme d'étoile se développent.


Photo: Dietmar Gust

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Pendant la saison des pluies, la griffe du diable révèle toute sa splendeur : des fleurs rouges tirant sur le violet en forme d'entonnoir apparaissent, pouvant atteindre la taille de 5 cm.


Photo: Dietmar Gust

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Les fruits de la griffe du diable sont pourvus d'épines en forme de crochets. Elles restent accrochées dans la fourrure des animaux et se répandent ainsi.


Photo: Dietmar Gust

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Quelque 80 graines se nichent dans le fruit de la griffe du diable. Le taux de germination extrêmement faible des graines rend difficile une culture rentable et efficace.


Photo: Dietmar Gust

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Lors de la récolte, les racines primaires de la griffe du diable doivent être préservées.


Photo: Dietmar Gust

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Sous le soleil de plomb du Kalahari, déterrer les précieux tubercules de la griffe du diable représente un travail éreintant. Johannes, employé du domaine, tient le produit de sa récolte dans la main.


Photo: Dietmar Gust

Photo: Dietmar Gust

L'exploitant Gert Oliver (2e de g. à d.) explique au groupe de voyageurs pourquoi il mise sur la culture de la griffe du diable. À droite sur la photo, son ancien collègue, Dieter von Willert.


Photo: Dietmar Gust

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Les racines très prisées de la griffe du diable doivent être déterrées parfois jusqu'à deux mètres de profondeur, dans le sol aride. Par 45 degrés à l'ombre, c'est un travail exténuant.


Photo: Dietmar Gust

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À 6 heures du matin, tous dorment encore, seuls Klaus et le photographe sont déjà debout et admirent le lever du soleil.


Photo: Dietmar Gust

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Dietmar Gust, photographe berlinois, a pris les photos illustrant l'article « Sur les traces de la griffe du diable ».


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